Flatvw a Ă©crit:
91 a Ă©crit:
Ceci dit comment peut-on taxer d'agréable un véhicule qui pue et qui tue comme un Diesel, mais bon ...
Je pense que c'est surtout une question de "façon de conduire".. Ma femme roule en TDI (elle fait 100 bornes par jour)
et ne changerais pour rien au monde. Pas besoin de monter dans les tours pour avancer, pas de rétrogradage à 90 en 5° pour doubler... Alors que moi, je m'y fait pas !
et elle ne s'y fait pas Ă mon
essence... par contre, c'est vrai qu'elle n'aime pas la fumée noire ...
Le problème c'est que cette fumée noire ou pas noire a été ce qu'on pouvait faire de plus nocif à un moment donné (ces dernières années).
Un véhicule comme cela ce n'est pas un problème, ni même dix.
Le souci c'est que l'on a généralisé ces véhicules sans tenir compte des chiffres de pollution en ville qui étaient déjà au dessus des normes.
En fait on a globalisé un problème de pollution de l'air que l'on connaissait déjà , à savoir la trop grande production de particules, oxydes d'azote et ozone induite, l'Etat étant aux avant-postes pour promouvoir ces saloperies.
C'est un comportement de gosse que de faire le contraire de ce qui pourrait améliorer les choses.
Mais la grande masse des gens et des experts a suivi comme un seul homme la solution du pire.
On retrouve ce qu'Edgar Morin appelle les deux crétinismes: celui de la base qui est soumis à des réflexions qui ne peuvent pas durer plus de 10 secondes, audimat oblige.
Et en face des crétins d'élite qui, sur la base de principes de laboratoire, finissent par aider un monde impossible, inéquitable, et ici puant et nocif.
Et c'est (probablement) ce mélange des deux sans lequel aucun phénomène d'aliénation de l'homme ne serait possible, au point que l'on trouve tout à fait normal en leur époque des concepts aussi délétères que nazisme, communisme, capitalisme, écologie ...
Alors qu'ils ne sont lĂ que pour masquer nos penchants Ă provoquer le pire et Ă excuser nos actes en les utilisant comme paravents.
