Autant que possible, les marques prescrites sur le réservoir doivent rester lisibles après le montage du réservoir dans le véhicule automobile. Le cas échéant, l'enlèvement du boîtier d'étanchéité et l'utilisation d'un miroir sont autorisés afin de faciliter la lecture de ces marques.
Que lesdites marques restent lisibles ou non après montage du réservoir dans le véhicule, elles doivent toujours être reproduites sur la plaquette de montage prescrite au point 19.
(...)
Le monteur qui a réalisé ou modifié une installation L.P.G. appose dans un endroit facilement accessible et protégé, si possible sur le réservoir, une plaquette de montage.
La plaquette est autodestructrice lors de toute tentative d'enlèvement et est conforme au modèle repris ci-dessous.
La plaquette est rédigée dans la langue qui est utilisée pour le certificat de visite prévu à l'article 11, § 5 du présent arrêté
(...)
Modèle plaquette :
L.P.G. - xxx :
(Numero d'agrement de l'installateur)
-------------------------------------
Nom et adresse de l'installateur :
-------------------------------------
Marque de fabrique du reservoir :
Type et capacite :
Date d'epreuve :
Marque d'homologation :
-------------------------------------
N° de l'attestation de montage :
-------------------------------------
Date de l'intervention :

Perso, je ferais sauter quelques rivets sur un bord, soulèverait la tôle pour voir comment le réservoir est soutenu. Ensuite, prendre une décision.

le controleur est un con, l'auto est trop récente pour être équipée en 67r00 donc fuit cet incompétent zélé !!!!

Le contrôle contrôle-t-il ?

Le contrôle technique, un gage de sécurité? Selon «Test Achats», qui s'est livré à sa petite enquête personnelle, c'est loin d'être le cas !

Qui pense contrôle de véhicules songe inconsciemment au stress de l'examen. Entendez par là l'obligation de se présenter annuellement, pour les véhicules de plus de quatre ans, dans l'un des 78 centres agréés pour conserver l'autorisation de rouler. La carte sans trou est-elle réellement un gage de sécurité?

Plusieurs témoignages recueillis par le magazine «Test-Achats» génèrent un certain doute.

Ainsi, «Mme G. de Bruxelles» avait acheté une Opel Corsa nantie de la carte verte, avec remarque négligeable. Après un mois, la voiture de Mme G. révèle ses faiblesses. Un concessionnaire Opel examine le véhicule. Verdict: il a été accidenté et retapé sommairement et de manière très visible.«M. V. de Nivelles» avait fait l'acquisition d'une Alfa Roméo accompagnée d'une carte verte. Un mois plus tard, la boîte de vitesse fait des caprices. Quelques jours plus tard, le capot s'ouvre brutalement sur la route. Accident. Jugement de l'expert automobile: le véhicule avait été accidenté précédemment. Réparation effectuée au mépris des règles de l'art, soudures de la carrosserie défaillantes, réparation au mastic, problèmes graves à la boîte de vitesse, pertes d'huile importantes au niveau du moteur.

UNE LOTERIE

Sensible au nombreux courrier de ce genre reçu, l'organisme de défense des consommateurs s'était livré à sa propre enquête. Dans 38 centres, leurs enquêteurs se sont présentés anonymement avec le même véhicule martyr: une voiture de plus de quatre ans qui avait été handicapée de 9 défauts passibles de carte rouge.

Résultat: «une véritable loterie»,

selon le magazine puisque les bulletins étaient tout sauf homogènes. Aucun ne détectait les quatre défauts les plus graves. À l'inverse, 10 centres signalaient des défaillances qui n'existaient pas. Seuls, 7 d'entre eux attribuaient une carte rouge.

Bref, un désastre, selon «Test-Achats». Et surtout pas un gage de sécurité.

Selon le magazine, les centres de diagnostic de l'état de santé des voitures (organismes agréés qui peuvent réaliser le check-up d'une voiture sur demande) ne donneraient hélas guère de résultats plus encourageants. Selon une enquête réalisée plus récemment, leurs performances sont jugées par Test-Achats «coûteuses pour des résultats déplorables», ainsi que nous le rappelle Jean-Philippe Ducart, porte-parole de T-A.

Moralité, selon M. Ducart: il ne faut pas tout balayer. Mais de réels problèmes se posent au niveau du matériel de ces centres ainsi que de la formation du personnel qui devrait être davantage encadré, contrôlé lui-même.

Bilan plus que mitigé, donc, sans compter les soupçons de corruption du personnel par les garagistes si souvent évoqués. Selon un garagiste de nos amis, ce soupçon serait à l'heure actuelle relativement injustifié. «Certes, à force de se croiser régulièrement, on se connaît un peu. Et le personnel fera peut-être preuve d'un peu plus de souplesse pour des détails. Mais je pense que la situation a beaucoup changé ces dernières années. Le personnel a été assaini. Il est davantage surveillé. Et quant à laisser passer des défauts normalement inacceptables, je n'y crois guère». A creuser pour une nouvelle enquête «Test-Achats»?

...A moins que Elisabeth puisse trouver un centre qui accepterait de dire avant le CT proprement dit d'examiner le cas et dire si oui ou non, j'accepte un contrôle par en dessous, avec un système de miroir de'inspection comme le décrit Gone69.

Bon courage Elisabeth

Le problème de Elisabeth63 n'est pas de savoir si les contrôleurs dans les centre de CT sont des cons, des incompétents et autres joyeusetés, mais d'avoir un CT valide pour pouvoir tout simplement rouler

Elle a une installation bizarroïde dans sa Clio, et on lui demande 250€ pour avoir un accès (visuel et/ou direct) à son réservoir.

La solution de changer de centre de CT est une solution. Mais cela ressemble à la roulette (russe ou pas). Cela gagne, ou cela perd, et encore un coup de 100€ de perdu. A moins que Elisabeth puisse trouver un centre qui accepterait de dire avant le CT proprement dit d'examiner le cas et dire si oui ou non, j'accepte un contrôle par en dessous, avec un système de miroir de'inspection comme le décrit Gone69.

Bon courage Elisabeth

bjr moi mon reservoir sur la laguna le numéro n'est pas visible mais le controleur l'a accepté avec le document d'homologation de la cuve tout simplement