Bonjour,

Bon j'ai mis dans "vapo" mais ca ne le concerne peu être pas...

J'avais deja fait part sur d'autre post d'un problème de switch a l'essence sur mon sharan (ADY 2l 115cv, sys necam injection global 200 000Kms). Ces switch ne se produisent que sur autoroute (120Kms - 1h15 de conduite), au debut je pensais cela dependait du niveau du reservoir, du coup j'avais emmener la voiture chez un installateur à Lyon (Boulley) pour la révision. Il m'a signaler qu'il a fait un leger reglages des pressions mais n'as pas reussi a reproduire le souci, d'ailleur moi non plus jusqu'a hier (je faisait principalement de la route/ville). Sur l'autoroute switch a l'essence, ce qui est étrange c'est que c'est quazi au meme endroit, là ou il ya du relief du coté de clermont-ferrant, l'autoroute oscille entre 1000 et 1500m il me semble.... La question est toute bête : l'altitude (donc la pression) peu-elle influencer un systeme GPL ???

Bon autrement sur ce voyage j'ai eu des legers broutages egalement a l'essence... Je ne sais plus sur quel pied danser vis-à-vis de ce problème, vu qu'il ne se produit que sur autoroute je pensais egalement a la température (mais bon en ville le moteur est sensé être plus chaud !) D'après mon garagiste le système GPL est bon les pressions sont bonnes...

Allumage ?? Les bougies sont neuves, mais peu-être la tête de delco ??

Pour le moment je fait juste un reset des calculateurs en débranchant la batterie...

Je sens que ca va être le problème vicieux dont la cause va être hyper chiante à trouver...

Bonjour,

Ne t'inquiètes pas trop, le plus important est de bien "cogiter" le diagnostic !

Sur les essences à injection catalysées, un capteur de pression absolue informe le calculateur de la pression atmosphérique en permanence ( et aussi de celle qui règne dans le collecteur d'admission) pour assurer, EN TOUTES CIRCONSTANCES, le bon ratio air/carburant (mélange stoechiométrique) corrigé par la sonde lambda.

Même à 3500 mètres d'altitude, ta voiture tournera nickel avec la bonne proportion air/carburant (contrairement aux diesels qui fument noir en altitude et aux vieilles essences à carburateur qui tournent trop riche, parce que la correction liée à l'altitude ne se fait pas).

Si ton système GPL est bon, il corrige aussi en fonction de l'altitude la proportion air/GPL, comme à l'essence.

Et puis, 1500 mètres dans le Massif Central, c'est pas une altitude qui justifie l'injection d'oxygène liquide dans le moteur

Ceci dit, l'autoroute du Massif Central est bien "raide" par endroits, comme celle de la Maurienne qui mène au tunnel du Fréjus.

Mais en ce qui me concerne, j'ai toujours pu rouler au gaz sans revenir à l'essence dans ces coins-là ( certes, à 100 km/h )

Bonne route.

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Rebonjour a tous,

Après mon WE routier (1200Kms) je peux affirmer que le souci que je rencontre n'est pas du tout dut à l'altitude !!!

Merci multipla35 pour ces infos, oui le moteur que j'ai est bien catalysé et doit logiquement bien compensé les différences de préssions atmosphérique.

On peut éventuellement clore ce topic si un admin passe par là, je vais en ouvrir un nouveau pour mon problème.

Je ne le clos pas car il pourra servir à d'autres qui se poseraient encore des questions sur l'incidence de l'altitude sur le GPL !

Bonsoir,
Je me permet d'apporter une petite info. Les autoroutes du Massif Central oscille en altitude entre 900m et 1100m. Je crois qu'il n' y a pas de col à 1500m sur les routes départementales, mais proche de 1500m comme le col de la Croix Morand ou col de Diane vers les 1415m ou le col de la Croix St Robert à 1465m. Il y a le Puy Mary a peu près à la même altitude.
Pour les autoroute je parle de l'A72, A75 et A89.
Bonne soirée. Christian

A nos altitudes habituelles, l'admission d'air est limitée par un papillon commandé par un moteur pas à pas. Ce qui permet de ne pas modifier la mixture lors d'accélérations brutales ou autres avatars de circulation.
En altitude, le volume d'air admis par le calculateur est augmenté en fonction des réponses capteurs de pression; comme le ratio oxygène/azote ne varie pas avec l'altitude (du moins jusqu'à la tropopause mais là on s'en contre fiche), il ne devrait pas il y avoir de perte de puissance dans le domaine du raisonable. L'admission d'air est tout de même limitée par la section minimale du circuit d'alimentation, donc sauf modifications importantes il vaut mieux éviter les courses de côte à 3500m ou tracter 2 tonnes en côte avec un 1500cc. Ceci reste valable pour les véhicules équipés au GPL vu que le calculateur d'origine du véhicule est utilisé pour la gestion moteur.

Pour ce qui est des voitures françaises, cela fait plus de dix ans que j'utilise Peugeot ou Citroën, toujours des véhicules d'occasion, et j'ai toujours dépassé les 400.000km sans autre frais que les entretiens. Ce n'était pas le cas lorsque je roulait en BMW ou Toyota, sans parler du coût des pièces et entretiens sur ces marques.

Bien à vous tous et reprenez moi si je me trompe.

Vincent.

Je fais pas mal de montagne quand je suis en vacances et je n'ai jamais noté de disfonctionnement au GPL. On observe une ptite baisse de forme, normale à partir de 2000m environ. Mais même en haut du Galibier ca pousse, et sans lacher de gros nuages noirs comme 90% des automobiistes.

Bonsoir,
Steph tu as raison. J'ai monté le col du Lautaret en 2006 avec ma BX 1.6l simple corps de 80ch avec une caravane de 1050kg à 1100kg . Côté Grenoble elle était bien calmée, mais au retour de Briançon elle montait tranquillement, sans excès de vitesse. Tout le monde avait le temps de voir le paysage, fenêtres ouvertes, derrière moi car il n' y avait pas de fumée noire . Quand on est en vacances nous ne sommes pas pressés. Elle a monté le Galibier, l'Isoard et le col du Montgenèvre elle ne boitait quand je lui demandais d'accélérer, sans la caravane. Nous ne montions pas au rythme d'une course de côte. Elle avait 180 000km à l'époque! Merci et bonne soirée. Christian

Tout nouveau ici, je tenais quand même à apporter ma petite contribution à ce sujet.

En effet, ayant déjà gravi 2 fois le col de la Bonette et ses 2800m, je peux assurer que l'altitude ne vient aucunement perturber le fonctionnement du moteur en mode GPL.

Je n'ai ressenti que la perte de puissance due à la raréfaction de l'oxygène, comme aurait subit n'importe quel moteur, soit environ 10% tous les 1000m.